Cyberpresse
Des ouvriers bretons qui posent nus pour sauver leurs emplois. Des manifestants anti-corrida allongés sans vêtements dans les rues de Paris. Des cyclistes entièrement dénudés à Londres pour protester contre les transports motorisés. Des militants à poil à Madrid pour dénoncer le massacre des phoques au Canada... Bref : il ne se passe plus une semaine dans le monde sans que des manifestants utilisent leur nudité pour frapper les esprits.
Le phénomène serait en croissance, selon Libération, qui consacre une série d'articles sur le sujet. Des «nudistes d'occasion» racontent leur expérience, tandis que la spécialiste Francine Barthe-Deloizy explique pourquoi, aujourd'hui, mieux vaut être vu (nu si possible) pour être entendu. «Se mettre nu est un acte courageux. C'est une nouvelle arme, un matériau pour de nouvelles luttes», affirme-t-elle. Lisez la suite sur Libération.fr
(la photo provient du magazine Clin d'Oeil - la cause est la solidarité avec les survivantes du cancer du sein: Rose solitaire, rose solidaire)
«Il faut lire les articles des vedettes qui ont posées pour mieux comprendre pourquoi elles l'ont fait. Tout d'abord je trouvais bizare de montrer des seins parfait quand on veut parler du cancer du sein. Moi qui aie eu une mastectomie totale à 38 ans, je trouvais choquant de les voirs prendre la pause, je revoyais ce que j'avais perdu. Mais à la lecture des entrevues je comprend que c'était un hommage à la femme en général et j'ai apprécié ce numéro spécial cancer du sein.»
Marie-Josée
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