source —> https://x.com/sfliberty/status/1959734091106152696 

Image :

L’image montre un portrait de Donald Trump, vĂŞtu d’un costume sombre avec une cravate rouge, levant le poing. Ă€ l’arrière-plan, on voit des usines industrielles Ă©mettant de la fumĂ©e, symbolisant une Ă©conomie basĂ©e sur l’industrie lourde et protĂ©gĂ©e. Ă€ droite, une silhouette lumineuse de la Nouvelle-ZĂ©lande est reprĂ©sentĂ©e, avec des flèches allant de Trump vers cette silhouette, puis vers une ferme avec des vaches et un drapeau nĂ©o-zĂ©landais. Cette composition visuelle semble suggĂ©rer un contraste entre une politique protectionniste (associĂ©e Ă  Trump) et une approche libĂ©rale du marchĂ© (associĂ©e Ă  la Nouvelle-ZĂ©lande).

Texte :

Le texte du tweet initial dit :
 »Trump imposed sweeping tariffs to ‘protect’ American industry. Meanwhile, 40 years ago, a small island nation did the exact opposite and became an economic powerhouse. This is the story of New Zealand’s farming revolution, and why protection breeds weakness. đź§µ »
- Message principal : Le tweet met en opposition deux approches Ă©conomiques. D’un cĂ´tĂ©, les tarifs douaniers imposĂ©s par Trump pour protĂ©ger l’industrie amĂ©ricaine, prĂ©sentĂ©s comme une mesure protectionniste. De l’autre, la Nouvelle-ZĂ©lande, qui a adoptĂ© une politique inverse il y a 40 ans (vers 1985) en Ă©liminant les subventions, ce qui l’a transformĂ©e en une puissance Ă©conomique. Le fil (đź§µ) indique que le sujet sera dĂ©veloppĂ© dans les tweets suivants.
- Thèse sous-jacente : Les auteurs suggèrent que le protectionnisme (comme celui de Trump) engendre la faiblesse, tandis que l’ouverture au marchĂ© libre a permis Ă  la Nouvelle-ZĂ©lande de prospĂ©rer, notamment dans l’agriculture.

Analyse du thread suivant

Le thread dĂ©veloppe cette idĂ©e en racontant l’histoire de la rĂ©volution agricole de la Nouvelle-ZĂ©lande et en tirant des leçons Ă©conomiques plus larges. Voici un rĂ©sumĂ© en français des points clĂ©s :

  1. Contexte de crise en 1984 (Post 1959734094255869992) :

    • La Nouvelle-ZĂ©lande Ă©tait en crise Ă©conomique : le gouvernement dĂ©pensait plus qu’il ne pouvait, et l’agriculture, pilier de l’Ă©conomie, dĂ©pendait fortement des subventions (environ un tiers des revenus des agriculteurs venait des contribuables). Une une de journal montre un Premier ministre accusĂ© de « sabotage » face Ă  la situation.
  2. Réforme radicale (Post 1959734097422725389) :

    • Contrairement aux rĂ©formes graduelles, la Nouvelle-ZĂ©lande a supprimĂ© presque toutes les subventions agricoles du jour au lendemain en 1984. Cela a provoquĂ© la colère des agriculteurs, qui ont manifestĂ© Ă  Wellington, libĂ©rant mĂŞme des moutons sur les terrains gouvernementaux.
  3. Prédictions et résultats (Post 1959734101142876301) :

    • Les critiques prĂ©disaient un effondrement de l’agriculture, mais cela ne s’est pas produit. Les agriculteurs ont dĂ» s’adapter rapidement.
  4. Succès inattendu (Post 1959734103982698988 et 1959734107195269201) :

    • Après la rĂ©forme, l’agriculture nĂ©o-zĂ©landaise a connu une explosion d’innovation. Les agriculteurs ont commencĂ© Ă  produire selon les besoins du marchĂ© plutĂ´t que selon les incitations bureaucratiques. La productivitĂ© a bondi de 1 % Ă  près de 4 % par an, et la part de l’agriculture dans le PIB est passĂ©e de 14 % Ă  16,6 %. Un graphique montre une amĂ©lioration de la libertĂ© Ă©conomique.
  5. Exemple concret (Post 1959734110207029680) :

    • Avant la rĂ©forme, la Nouvelle-ZĂ©lande avait 70 millions de moutons produisant une viande non demandĂ©e, obligeant Ă  transformer 6 millions d’agneaux en engrais. Après la rĂ©forme, avec seulement 40 millions de moutons, ils ont maintenu la mĂŞme production de viande, mieux adaptĂ©e aux consommateurs.
  6. Comparaison internationale (Post 1959734113013027088) :

    • Aujourd’hui, les agriculteurs nĂ©o-zĂ©landais reçoivent moins de 1 % de leurs revenus des subventions gouvernementales, contre 40 % au Japon, 20 % dans l’UE, et 10 % aux États-Unis. En 2022, leurs exportations agricoles ont atteint 31 milliards de dollars.
  7. Leçon économique (Post 1959734116066197602 et 1959734118159143016) :

    • Le thread argue que le protectionnisme crĂ©e une dĂ©pendance et une stagnation, tandis que l’exposition Ă  la concurrence stimule l’innovation et la rĂ©silience. Les industries protĂ©gĂ©es deviennent des « secteurs zombies » qui survivent grâce aux aides publiques.
  8. Critique de l’Ă©ducation (Post 1959734121019986413 et 1959734124400316728) :

    • Les auteurs critiquent les universitaires qui prĂ´nent les politiques interventionnistes, alors que l’exemple nĂ©o-zĂ©landais montre leur inefficacitĂ©. Ils proposent un « College Survival Kit » pour aider les Ă©tudiants Ă  dĂ©fendre les principes du marchĂ© libre.

Interprétation globale

Le thread utilise l’exemple de la Nouvelle-ZĂ©lande comme une contre-argumentation aux politiques protectionnistes de Trump. Il soutient que supprimer les subventions et s’ouvrir Ă  la concurrence a transformĂ© une Ă©conomie en crise en un modèle de succès, notamment dans l’agriculture. L’image initiale illustre ce contraste : les usines polluantes de Trump symbolisent une Ă©conomie protĂ©gĂ©e mais fragile, tandis que les fermes nĂ©o-zĂ©landaises reprĂ©sentent une Ă©conomie dynamique et autonome.

Réflexion personnelle

Cette analyse reflète une vision libĂ©rale qui valorise le marchĂ© libre et critique l’intervention gouvernementale. Cependant, elle simplifie peut-ĂŞtre certains aspects, comme les dĂ©fis sociaux initiaux pour les agriculteurs nĂ©o-zĂ©landais ou les contextes diffĂ©rents entre les États-Unis et la Nouvelle-ZĂ©lande. Si vous souhaitez approfondir avec des donnĂ©es ou des recherches supplĂ©mentaires, je peux vous proposer de faire une recherche pour complĂ©ter cette analyse.

Grok ...