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SNC-Lavalin a été impliquée dans plusieurs affaires de corruption majeures. Voici un aperçu clair et factuel de ces dossiers :

1. Affaire de corruption en Libye (2001–2011)

  • Entre 2001 et 2011, SNC-Lavalin aurait versĂ© environ 47,7 millions de dollars canadiens Ă  Saadi Kadhafi (fils de Mouammar Kadhafi) via des sociĂ©tĂ©s Ă©crans pour remporter des contrats de construction en Libye, faussant ainsi les appels d’offres (WikipĂ©dia, mondaq.com, Newswire).
  • Le 16 dĂ©cembre 2019, la filiale SNC-Lavalin Construction Inc. (SLCI) a plaidĂ© coupable pour un seul chef d’accusation de fraude, dans le cadre d’un accord avec le ministère public, moyennant une amende de 280 millions et une mise Ă  l’Ă©preuve de trois ans (ppsc.gc.ca, mondaq.com, bbc.com).
  • Les autres accusations de corruption ont Ă©tĂ© retraitĂ©es (stayed) contre SNC-Lavalin Group Inc. et d’autres filiales, dans le cadre de cet accord (ppsc.gc.ca, WikipĂ©dia).

2. Affaire du super-hôpital (MUHC) à Montréal

  • SNC-Lavalin aurait versĂ© 22,5 millions Ă  Arthur Porter et Yanai Elbaz (des hauts responsables du Centre hospitalier de l’UniversitĂ© McGill) pour obtenir un contrat d’un consortium en 2010 (WikipĂ©dia).

  • Suite Ă  cela :

  • Yanai Elbaz a plaidĂ© coupable et a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  39 mois de prison .

  • Riadh Ben AĂŻssa (ex-VP de SLCI) a plaidĂ© coupable en Suisse pour usage de faux et corruption et a reçu une peine de 51 mois (Global News).

  • Pierre Duhaime, alors PDG, a aussi plaidĂ© coupable en 2019 pour manquement Ă  l’intĂ©gritĂ© et a reçu 20 mois de dĂ©tention Ă  domicile .

  • Cette affaire a Ă©tĂ© qualifiĂ©e comme “la plus vaste enquĂŞte sur la fraude et la corruption de l’histoire du Canada” .

3. Autres sanctions internationales

  • En 2013, la Banque mondiale a banni SNC-Lavalin et plus de 100 filiales de ses contrats pour une durĂ©e pouvant aller jusqu’Ă  10 ans, en raison de comportements frauduleux au Bangladesh et au Cambodge (Global News).
  • En 2018, le Groupe de la Banque africaine de dĂ©veloppement a rĂ©glĂ© un dossier de corruption en Afrique (Mozambique et Ouganda) avec SNC-Lavalin, moyennant une amende de 1,5 million de dollars et certaines conditions de conformitĂ© (Global News).

4. Affaire politique au Canada : ingérence supposée

  • En 2018, le gouvernement Trudeau a adoptĂ© des dispositions pour permettre des accords de poursuite diffĂ©rĂ©e (DPA), permettant Ă  une entreprise comme SNC-Lavalin d’Ă©viter un procès en acceptant une amende et un programme de conformitĂ© supervisĂ© (WikipĂ©dia).
  • En 2019, l’ancienne ministre de la Justice Jody Wilson-Raybould a dĂ©noncĂ© des pressions exercĂ©es par le bureau du Premier ministre Justin Trudeau afin qu’elle accorde une telle entente Ă  SNC-Lavalin pour Ă©viter une condamnation — ce qui aurait entraĂ®nĂ© une interdiction de soumissionner aux contrats fĂ©dĂ©raux pendant 10 ans (WikipĂ©dia, WikipĂ©dia, TIME, Axios).
  • Le commissaire aux conflits d’intĂ©rĂŞts, Mario Dion, a conclu en aoĂ»t 2019 que Trudeau avait violĂ© la Loi sur les conflits d’intĂ©rĂŞts en exerçant ces pressions (Axios, WikipĂ©dia).
  • L’affaire a dĂ©clenchĂ© plusieurs dĂ©missions politiques, dont celles de Jody Wilson-Raybould et de la ministre Jane Philpott, ainsi que de l’adjoint principal du Premier ministre, Gerald Butts (TIME).

Résumé synthétique

| Affaire | Année(s) | Séquelles / Conséquences |
| ———————————— | ——— | ——————————————————————————— |
| Corruption en Libye | 2001–2011 | Amende de 280 M $, probation de 3 ans, DPA avec retrait de charges restantes |
| Super-hĂ´pital MUHC Ă  MontrĂ©al | 2010–2012 | Peines pour Duhaime, Elbaz, Ben AĂŻssa (peines de prison ou dĂ©tention Ă  domicile) |
| Sanctions internationales | 2013–2018 | Blacklist par la Banque mondiale, règlement avec Banque africaine ($1,5 M) |
| Affaire politique interne au Canada | 2018–2019 | Pressions sur la ministre, enquĂŞte Ă©thique, sanctions politiques et remaniements |

Conclusion

Oui, SNC-Lavalin a Ă©tĂ© au cĹ“ur de scandales de corruption avĂ©rĂ©s — incluant des versements de pots-de-vin, des condamnations, des sanctions financières robustes, et une crise politique majeure. Ces situations ont sĂ©vèrement entachĂ© la rĂ©putation et conduit Ă  une transformation stratĂ©gique, y compris un rebranding en AtkinsRĂ©alis en 2023, pour marquer une « nouvelle ère » (reddit.com, WikipĂ©dia).

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Vincent Geloso a abordĂ© l’affaire SNC-Lavalin Ă  plusieurs reprises, notamment dans des analyses publiĂ©es par le Fraser Institute. Dans un article publiĂ© en avril 2019, il souligne que cette affaire illustre comment un gouvernement de grande envergure peut favoriser la corruption et les scandales. Geloso argue que l’ampleur du gouvernement crĂ©e des incitations Ă  l’abus de pouvoir, notamment par le biais de rĂ©glementations qui peuvent mener Ă  des pratiques de corruption telles que les paiements pour accĂ©lĂ©rer les processus administratifs. Il suggère que la rĂ©duction de la taille et de l’Ă©tendue du gouvernement pourrait limiter ces tentations et, par consĂ©quent, rĂ©duire les scandales politiques .(fr.wikipedia.org, Fraser Institute)

Dans une autre publication, Geloso Ă©voque l’affaire SNC-Lavalin dans le contexte de la Loi sur les mesures d’urgence, soulignant que l’ingĂ©rence politique dans cette affaire nuit Ă  la rĂ©putation internationale du Canada .(fr.wikipedia.org)

Ces interventions montrent que Geloso considère l’affaire SNC-Lavalin comme un exemple significatif des risques associĂ©s Ă  une intervention gouvernementale excessive dans l’Ă©conomie et la politique.

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