• Ce billet d'opinion du Journal de Montréal critique la décision de Mark Carney d'exclure le Québec de la remise fédérale sur la taxe carbone de 2025, estimée à 814 millions de dollars, en raison du système provincial autonome, qualifiant cela d'injustice majeure envers les Québécois.
  • Contexte : Après avoir aboli la taxe carbone fédérale pour les consommateurs en mars 2025, Carney a versé des remises totalisant 3,7 milliards à l'ensemble du Canada sauf au Québec, qui n'a pas perçu la taxe fédérale mais contribue aux revenus fédéraux via d'autres mécanismes.
  • Réactions sur X : Les réponses varient entre moqueries sur la position du Québec, sarcasmes sur les bénéfices futurs de la taxe carbone et rappels que le système québécois indépendant n'est pas directement impacté par les changements fédéraux.
Grok

 

1. Perte d’influence en Syrie
Le chef du groupe sunnite Ahmed al-Sharaa, à la tête de Hay’at Tahrir al-Sham (HTS), a rompu avec l’idéologie pro-iranienne et coupé le corridor terrestre reliant Téhéran à Beyrouth via Damas — un revers stratégique pour le Hezbollah, selon le Council on Foreign Relations. Depuis, l’Iran voit son emprise militaire et politique en Syrie s’éroder. Les déclarations publiques de Sharaa contre Téhéran, notamment dans des mosquées emblématiques comme celle des Omeyyades, confirment sa volonté d’autonomie. Cette perte d’influence pourrait isoler davantage le Hezbollah, déjà affaibli par ses affrontements avec Israël, et réduire la capacité de projection régionale de l’Iran.

2. Risque d’escalade avec Israël
En décembre 2024, Israël a détruit environ 85 % des capacités militaires syriennes, profitant du vide de pouvoir post-Assad, selon Foreign Policy. L’Iran, qui utilisait la Syrie comme plateforme logistique pour soutenir le Hezbollah, voit désormais ses routes d’approvisionnement sérieusement compromises. Parallèlement, la nouvelle alliance russo-syrienne, perçue davantage comme un contrepoids à Ankara qu’un relais de Téhéran, pourrait encourager Israël à intensifier ses frappes contre les dernières positions pro-iraniennes. L’Iran se retrouve ainsi exposé à une série d’attaques ciblées, qui risquent d’amputer encore ses capacités opérationnelles en Syrie.

3. Relations tendues avec la Russie
Alliées de circonstance sous le régime d’Assad, la Russie et l’Iran n’avancent plus au même rythme. Moscou cherche désormais à préserver ses propres intérêts — notamment ses bases de Hmeimim et Tartous — quitte à nouer des liens directs avec Sharaa, selon le Stimson Center. Si la Russie continue d’armer Damas sans coordination avec Téhéran, la coopération entre les deux puissances pourrait se transformer en compétition stratégique. Une telle évolution affaiblirait la présence iranienne, tant sur le plan militaire qu’économique, dans une région déjà saturée de rivalités.

4. Isolement régional et international
Le nouveau dirigeant syrien affiche une ouverture assumée vers l’Occident. Ses rencontres avec Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky symbolisent une volonté de rompre avec la dépendance à l’Iran. Ce repositionnement, conjugué à la montée de l’influence saoudienne et turque, pourrait laisser Téhéran sur la défensive. Si la Syrie poursuit cette orientation, l’Iran risque de perdre un allié clé, autrefois central dans sa stratégie d’influence régionale. L’isolement diplomatique qui en découlerait compliquerait davantage sa résistance face aux sanctions et à la pression internationale.

5. Répercussions internes
La légitimité du régime iranien repose en partie sur sa stature de puissance régionale. Un recul d’influence en Syrie serait perçu comme un échec face à Israël ou aux États-Unis, renforçant les critiques internes contre le gouvernement. Dans un contexte de difficultés économiques et de mécontentement social, un tel revers pourrait accentuer les tensions politiques à Téhéran et fragiliser davantage la cohésion interne du pays.

Conclusion
La recomposition du paysage syrien sous Ahmed al-Sharaa marque un tournant dans les équilibres du Moyen-Orient. En quelques mois, l’Iran a vu s’effriter un réseau d’alliances patiemment tissé depuis deux décennies. Entre la perte d’influence à Damas, la méfiance croissante de Moscou et la pression militaire d’Israël, Téhéran se retrouve dans une position défensive. Cette évolution pourrait redéfinir non seulement les rapports de force en Syrie, mais aussi la place de l’Iran dans l’ordre régional à venir — un basculement discret, mais potentiellement historique.

ChatGPT

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  • Ce post satirique critique l'accord récent (6 novembre 2025) entre l'administration Trump, Eli Lilly et Novo Nordisk pour des réductions sur les médicaments contre l'obésité via Medicare et la plateforme TrumpRx, le présentant comme une victoire des lobbies pharmaceutiques plutôt que des citoyens.
  • Il s'appuie sur des faits vérifiés comme les dépenses de lobbying record du secteur (~380 millions de dollars en 2024-2025 selon OpenSecrets) et l'impact marginal des négociations de prix sur les dépenses de santé (rapport CBO 2023), soulignant l'ironie d'une FDA financée à 45 % par l'industrie.
  • L'image accompagnante, un dessin humoristique de Trump en pharmacien vendant des "pilules de liberté" aux logos des entreprises, renforce le ton moqueur en recyclant des thèmes anti-élites pour dénoncer la continuité des influences corporatives malgré le changement politique.
Grok

Le site OpenSecrets (opensecrets.org) est exploité par la Center for Responsive Politics (CRP), un organisme à but non lucratif indépendant basé à Washington D.C. (InfluenceWatch)

Voici quelques précisions importantes :

  • OpenSecrets se présente comme « non partisan, indépendant et sans but lucratif ». (OpenSecrets)

  • L’organisme est enregistré aux États-Unis comme une organisation de type 501(c)(3). (Wikipédia)

  • Les origines remontent à la fondation de CRP en 1983 par les anciens sénateurs américains Frank Church et Hugh Scott. (Wikipédia)

  • OpenSecrets publie des données relatives au financement des campagnes électorales fédérales et du lobbying aux États-Unis. (OpenSecrets)

On trouve des liens entre George Soros (et ses fondations) et OpenSecrets / sa maison-mère Center for Responsive Politics (CRP). Voici ce qu’on peut dire :

✅ Ce qu’on sait

  • OpenSecrets (CRP) est une organisation à but non lucratif qui publie des données sur le financement politique aux États-Unis. (Wikipédia)

  • Selon le site InfluenceWatch, CRP « a reçu depuis janvier 2017 plus de 100 000 $ de plusieurs organisations “left-of-centre”, incluant la Open Society Foundations de George Soros. » (InfluenceWatch)

  • Donc, oui : la fondation de Soros (ou plus précisément, les structures qu’il finance) a déjà accordé des subventions à OpenSecrets/CRP.

⚠️ Ce qu’il ne faut pas en déduire

  • Cela ne signifie pas que George Soros « contrôle » OpenSecrets ou qu’il dirige ses analyses / publications. La réception de subventions ne implique pas nécessairement une influence éditoriale.

  • Les liens sont de type « financement d’un donateur vers l’organisation » — pas « l’organisation est une partie prenante active avec Soros ».

  • Il importe de garder en tête la distinction entre « avoir reçu un don » et « être dirigé ou façonné par » un donateur.

ChatGPT

  • Le post de Sylvia Miami diffuse une vidéo traduite en français et anglais, où l'évêque traditionaliste Richard Williamson expose une théorie selon laquelle le sionisme utilise l'islam radical, créé au VIIe siècle par des Juifs, pour affaiblir les nations chrétiennes via des invasions historiques et migrations modernes.
  • Richard Williamson (1940-2025), ex-membre de la Fraternité Saint-Pie X et connu pour ses positions ultraconservatrices, y cite des exemples comme les conquêtes arabes en Espagne et en France, ainsi que des figures comme George Soros, pour illustrer une guerre de cinquième génération contre le christianisme.
  • Cette narration s'inscrit dans des théories conspirationnistes antisémites marginales, réfutées par les historiens mainstream qui attribuent l'origine de l'islam à Mahomet influencé par le judaïsme, sans preuve d'une création juive orchestrée.
Grok

 

  • Le post de
    @Contrepoids
    critique sarcastiquement l'affirmation du premier ministre Mark Carney selon laquelle la taxe carbone industrielle n'a aucun impact sur l'inflation, en soulignant que toute augmentation des coûts énergétiques affecte inévitablement les prix de production.
  • Cette réaction fait suite au budget fédéral de novembre 2025, qui renforce la tarification carbone pour les grands émetteurs tout en abandonnant le plafonnement des émissions des secteurs pétrolier et gazier, dans un objectif de transition vers une économie verte.
  • Des analyses, comme celle de l'Institut climatique canadien et une étude parue dans le Journal of the European Economic Association (2023), confirment un effet nul ou négligeable sur l'inflation, bien que des débats persistent sur les coûts indirects pour les consommateurs.
Grok


  • Le post diffuse un extrait vidéo du discours de Keir Starmer prononcé le 6 novembre 2025 à la COP30 au Brésil, où il déclare l'engagement total du Royaume-Uni contre le changement climatique malgré un consensus mondial affaibli.
  • Starmer souligne les opportunités économiques de la transition vers la neutralité carbone, estimant que les entreprises britanniques pourraient générer jusqu'à 1 000 milliards de livres sterling d'ici 2030 via des biens et services liés au net zéro.
  • Les réponses au post expriment un scepticisme majoritaire, critiquant les coûts pour l'Occident face à l'inaction de la Chine et de l'Inde, et alignant sur des débats persistants sur l'équilibre entre action climatique et croissance économique.
Grok 
  • Ce mème de
    @Rothmus
    reprend une citation de Ludwig von Mises affirmant que sans propriété privée et prix de marché, le calcul économique est impossible, rendant les décisions de production inefficaces et les besoins de base insatisfaits.
  • L'argument de Mises, développé en 1920 dans "Le socialisme", critique l'économie planifiée en soulignant l'absence de signaux de prix pour allouer les ressources, un débat central entre libéraux et socialistes.
  • Les réactions au post révèlent une polarisation : des libéraux y voient une preuve irréfutable contre le communisme, tandis que des critiques défendent une planification collective ou contestent l'application au capitalisme moderne.
Grok
 

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  • Le post ironise sur le blocage par la Chine de l'accord de 23 milliards de dollars de BlackRock pour acquérir les ports du canal de Panama, avec une allusion humoristique à une figure politique américaine mécontente, illustré par des images de Xi Jinping et du logo BlackRock.
  • Contexte géopolitique : Cet accord, annoncé en mars 2025, portait sur 43 ports mondiaux gérés par CK Hutchison, dont les terminaux Balboa et Cristobal au Panama ; Pékin a invoqué un examen antitrust pour exiger une part pour Cosco, retardant la transaction.
  • Évolution : En juillet 2025, l'accord a capoté, laissant craindre une plus grande emprise chinoise sur le canal stratégique, alimentant les tensions sino-américaines sans résolution récente en novembre 2025.
Grok

 

les Suisses suggèrent-ils de partir une nouvelle religion? ... ...


Les tarifs de Trump (ou droits de douane) ont joué plusieurs rôles économiques et politiques, selon la perspective qu’on adopte. Voici une synthèse claire :

⚙️ 1. Instrument de protection économique

Trump a imposé des tarifs (notamment sur la Chine, l’acier, l’aluminium et certaines importations européennes) pour protéger les industries américaines jugées menacées par la concurrence étrangère.
Objectif déclaré :

  • Ramener des emplois manufacturiers aux États-Unis.

  • Réduire la dépendance vis-à-vis de la Chine.

  • Encourager la production locale (ex. acier, automobiles).

💰 2. Outil de pression commerciale et géopolitique

Trump a souvent utilisé les tarifs comme levier de négociation :

  • Pour renégocier des accords (comme l’ALENA remplacé par l’USMCA).

  • Pour forcer des concessions de la Chine sur la propriété intellectuelle et les subventions d’État.

  • Pour exercer une influence politique sur des pays alliés ou rivaux (par ex. menaces de tarifs sur le Mexique pour contrôler l’immigration).

📉 3. Effets économiques intérieurs

Les résultats ont été mitigés :

  • Certaines industries protégées ont connu un sursaut temporaire (acier, aluminium).

  • Mais les entreprises dépendantes d’importations ont subi une hausse des coûts.

  • Les consommateurs américains ont payé plus cher plusieurs produits importés.

  • En revanche, les recettes tarifaires ont augmenté (plus de 70 milliards $ perçus au total).

🌐 4. Rééquilibrage des chaînes d’approvisionnement

Les tarifs ont incité plusieurs entreprises à diversifier leurs sources hors de Chine (Vietnam, Mexique, Inde…).
→ Cela s’inscrit dans une tendance durable de “découplage” entre les économies américaine et chinoise.

🧭 5. Rôle symbolique et politique

Les tarifs sont devenus un symbole du nationalisme économique de Trump :

  • Message fort à sa base électorale : « America First ».

  • Positionnement contre le “libre-échange globaliste” des décennies précédentes.

  • Outil de communication politique autant qu’économique.

Ce post X de
@Ncusane
est une réponse à une citation de Thomas Sowell qui critique des initiatives comme le multiculturalisme, la diversité et la sensibilisation aux genres, les qualifiant de mécanismes financés par l'État qui favorisent la division et la haine. La réponse comprend des émojis de rire (😂🤣😂) accompagnés d'une caricature politique représentant une figure d'élite riche observant deux personnages en train de se disputer — un homme portant une casquette MAGA et une femme aux cheveux violets — enfermés dans un aquarium comme des spécimens. La légende dit : « Ils vous ont fait combattre une guerre culturelle pour vous empêcher de combattre une guerre de classes. »

Le mème évoque un récit classique de gauche, présentant les conflits culturels comme des distractions orchestrées pour détourner l'attention des inégalités économiques, mais il ignore le point central de Sowell : ces programmes axés sur l'identité exacerbent souvent les ressentiments entre groupes, sapant les incitations économiques et individuelles partagées qui ont historiquement favorisé le progrès et la cohésion dans les sociétés libres. Plutôt que de dresser les classes les unes contre les autres, Sowell mettait l'accent sur les résultats empiriques plutôt que sur un cadre idéologique — par exemple, comment les politiques d'aide sociale peuvent perpetuer la dépendance plutôt que la mobilité. Le rire dans la réponse semble rejeter la citation comme naïve, mais la caricature renforce ironiquement le thème de la manipulation par l'élite que Sowell critique, redirigeant simplement la faute vers la « classe » plutôt que vers les incitations à la division sponsorisées par l'État.

Grok 

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Ce post X de Catherine Austin Fitts (
@solari_the
) de The Solari Report met en avant son dernier article, qui propose une "liste de contrôle" évaluant les politiques de l'administration Trump sous l'angle de leur contribution ou non à la mise en place d'une "grille de contrôle numérique". Cette grille est définie comme un réseau centralisé de surveillance, de suivi, de crédit social piloté par l'IA, et de contrôles programmables sur l'argent, les ressources et les comportements, pouvant porter atteinte aux libertés individuelles.
Le post inclut une image (probablement un aperçu graphique du rapport) et un lien vers l'article complet sur solari.com. Les principaux thèmes de la liste de contrôle, basés sur des ordonnances exécutives, des lois et des actions d'agences depuis début 2025, présentent majoritairement ces initiatives comme favorisant la grille :
  • Finance numérique et monnaie : Soutien à l'Acte GENIUS pour développer les infrastructures de stablecoins (considéré comme permettant une monnaie programmable, des gels de transactions et des contrôles déguisés de type CBDC, malgré l'opposition de Trump aux CBDC) ; promotion des actifs numériques dans les plans de retraite ; absence de poursuite d'une monnaie sans dette ou de récupération des trillions de dollars "manquants" dans les fonds fédéraux.
  • Guerre contre l'argent liquide : Arrêt de la fabrication de pennies, suppression progressive des chèques papier fédéraux et des remboursements (y compris Sécurité sociale et IRS), et obligation des paiements électroniques ; suivi des pourboires en espèces via des incitations fiscales.
  • Surveillance et biométrie : Extension de l'application de REAL ID, reconnaissance faciale et partage de données par TSA/ICE/DHS (y compris avec l'Europe) ; contrats avec Palantir pour les systèmes de déportation et d'identification ; financement de la surveillance par IA dans les projets d'immigration ; vérification d'âge par application nécessitant biométrie/ID.
  • Infrastructures de données et IA : Projet Stargate pour des centres de données massifs liés à l'IA et à l'"Internet des corps" (ex. : technologies mRNA) ; efforts de DOGE pour numériser les systèmes fédéraux (Sécurité sociale, IRS), potentiellement alimentant un crédit social ; coordination IA/crypto à la Maison Blanche.
  • Autres facilitateurs : Maintien de la confidentialité via les règles FASAB sur l'opacité financière ; absence de remise en cause des expansions de surveillance du premier mandat ; liens avec des figures technologiques comme Thiel/Musk pour des technologies de suivi.
Fitts note peu de rejets explicites, dépeignant l'administration comme facilitant une centralisation technocratique sous des prétextes comme l'efficacité, la sécurité ou la lutte contre la fraude (ex. : promotion de l'identification des électeurs via la loi SAVE). Le rapport, initialement publié en avril 2025 et mis à jour jusqu'en octobre, appelle à une vigilance pour éviter de remplacer un système de contrôle par un autre.

Les réponses au post expriment de l'inquiétude, certains utilisateurs dénonçant l'influence technologique sur Trump ou reliant cela à des préoccupations plus larges comme le scoring ADL. Les critiques de la vision de Fitts pourraient arguer que ces politiques visent l'innovation, la sécurité des frontières ou la lutte contre les finances illicites sans aboutir nécessairement à une tyrannie — les stablecoins décentralisent par rapport aux CBDC étatiques, la biométrie améliore l'application ciblée, et la numérisation réduit la bureaucratie — mais son article met en lumière les risques d'extension des missions dans l'agrégation de données et la concentration du pouvoir. C'est une analyse provocante qui mérite d'être confrontée aux textes de politiques primaires pour distinguer l'intention des résultats.

Grok