Trump imposed sweeping tariffs to "protect" American industry.
— Students For Liberty (@sfliberty) August 24, 2025
Meanwhile, 40 years ago, a small island nation did the exact opposite and became an economic powerhouse.
This is the story of New Zealand's farming revolution, and why protection breeds weakness. 🧵 pic.twitter.com/KXkQLTyBPM
source —> https://x.com/sfliberty/status/1959734091106152696
Image :
L’image montre un portrait de Donald Trump, vêtu d’un costume sombre avec une cravate rouge, levant le poing. À l’arrière-plan, on voit des usines industrielles émettant de la fumée, symbolisant une économie basée sur l’industrie lourde et protégée. À droite, une silhouette lumineuse de la Nouvelle-Zélande est représentée, avec des flèches allant de Trump vers cette silhouette, puis vers une ferme avec des vaches et un drapeau néo-zélandais. Cette composition visuelle semble suggérer un contraste entre une politique protectionniste (associée à Trump) et une approche libérale du marché (associée à la Nouvelle-Zélande).
Texte :
Le texte du tweet initial dit :
»Trump imposed sweeping tariffs to ‘protect’ American industry. Meanwhile, 40 years ago, a small island nation did the exact opposite and became an economic powerhouse. This is the story of New Zealand’s farming revolution, and why protection breeds weakness. 🧵 »
- Message principal : Le tweet met en opposition deux approches économiques. D’un côté, les tarifs douaniers imposés par Trump pour protéger l’industrie américaine, présentés comme une mesure protectionniste. De l’autre, la Nouvelle-Zélande, qui a adopté une politique inverse il y a 40 ans (vers 1985) en éliminant les subventions, ce qui l’a transformée en une puissance économique. Le fil (🧵) indique que le sujet sera développé dans les tweets suivants.
- Thèse sous-jacente : Les auteurs suggèrent que le protectionnisme (comme celui de Trump) engendre la faiblesse, tandis que l’ouverture au marché libre a permis à la Nouvelle-Zélande de prospérer, notamment dans l’agriculture.
Analyse du thread suivant
Le thread développe cette idée en racontant l’histoire de la révolution agricole de la Nouvelle-Zélande et en tirant des leçons économiques plus larges. Voici un résumé en français des points clés :
Contexte de crise en 1984 (Post 1959734094255869992) :
- La Nouvelle-Zélande était en crise économique : le gouvernement dépensait plus qu’il ne pouvait, et l’agriculture, pilier de l’économie, dépendait fortement des subventions (environ un tiers des revenus des agriculteurs venait des contribuables). Une une de journal montre un Premier ministre accusé de « sabotage » face à la situation.
Réforme radicale (Post 1959734097422725389) :
- Contrairement aux réformes graduelles, la Nouvelle-Zélande a supprimé presque toutes les subventions agricoles du jour au lendemain en 1984. Cela a provoqué la colère des agriculteurs, qui ont manifesté à Wellington, libérant même des moutons sur les terrains gouvernementaux.
Prédictions et résultats (Post 1959734101142876301) :
- Les critiques prédisaient un effondrement de l’agriculture, mais cela ne s’est pas produit. Les agriculteurs ont dû s’adapter rapidement.
Succès inattendu (Post 1959734103982698988 et 1959734107195269201) :
- Après la réforme, l’agriculture néo-zélandaise a connu une explosion d’innovation. Les agriculteurs ont commencé à produire selon les besoins du marché plutôt que selon les incitations bureaucratiques. La productivité a bondi de 1 % à près de 4 % par an, et la part de l’agriculture dans le PIB est passée de 14 % à 16,6 %. Un graphique montre une amélioration de la liberté économique.
Exemple concret (Post 1959734110207029680) :
- Avant la réforme, la Nouvelle-Zélande avait 70 millions de moutons produisant une viande non demandée, obligeant à transformer 6 millions d’agneaux en engrais. Après la réforme, avec seulement 40 millions de moutons, ils ont maintenu la même production de viande, mieux adaptée aux consommateurs.
Comparaison internationale (Post 1959734113013027088) :
- Aujourd’hui, les agriculteurs néo-zélandais reçoivent moins de 1 % de leurs revenus des subventions gouvernementales, contre 40 % au Japon, 20 % dans l’UE, et 10 % aux États-Unis. En 2022, leurs exportations agricoles ont atteint 31 milliards de dollars.
Leçon économique (Post 1959734116066197602 et 1959734118159143016) :
- Le thread argue que le protectionnisme crée une dépendance et une stagnation, tandis que l’exposition à la concurrence stimule l’innovation et la résilience. Les industries protégées deviennent des « secteurs zombies » qui survivent grâce aux aides publiques.
Critique de l’éducation (Post 1959734121019986413 et 1959734124400316728) :
- Les auteurs critiquent les universitaires qui prônent les politiques interventionnistes, alors que l’exemple néo-zélandais montre leur inefficacité. Ils proposent un « College Survival Kit » pour aider les étudiants à défendre les principes du marché libre.
Interprétation globale
Le thread utilise l’exemple de la Nouvelle-Zélande comme une contre-argumentation aux politiques protectionnistes de Trump. Il soutient que supprimer les subventions et s’ouvrir à la concurrence a transformé une économie en crise en un modèle de succès, notamment dans l’agriculture. L’image initiale illustre ce contraste : les usines polluantes de Trump symbolisent une économie protégée mais fragile, tandis que les fermes néo-zélandaises représentent une économie dynamique et autonome.
Réflexion personnelle
Cette analyse reflète une vision libérale qui valorise le marché libre et critique l’intervention gouvernementale. Cependant, elle simplifie peut-être certains aspects, comme les défis sociaux initiaux pour les agriculteurs néo-zélandais ou les contextes différents entre les États-Unis et la Nouvelle-Zélande. Si vous souhaitez approfondir avec des données ou des recherches supplémentaires, je peux vous proposer de faire une recherche pour compléter cette analyse.
Grok