• Le post de ZeroHedge partage un article critiquant l'illusion du progrès moderne, où la quête effrénée de "plus" (argent, crédit) remplace les avancées tangibles comme les inventions du XIXe siècle qui ont triplé les salaires réels et porté l'espérance de vie de 35 à 55 ans en Europe occidentale entre 1800 et 1900.
  • Historiquement, le progrès reposait sur l'épargne, la discipline et des innovations utiles (vapeur, électricité), mais la financiarisation actuelle gonfle le PIB via des transactions destructrices, comme les réparations de catastrophes, sans créer de valeur réelle.
  • Psychologiquement, cela favorise l'immédiateté et l'endettement, érodant la patience et la vertu ; la conclusion appelle à un progrès durable, mesuré par la préservation du sens et des institutions plutôt que par des graphiques ascendants.
Grok