Trump concludes his meeting with Zelensky and called it “very interesting and cordial”, then highlights how this war must end.
— Clandestine (@WarClandestine) October 17, 2025
To me, it sounds like Trump told Zelensky the war is going to end, and Zelensky is not happy about it.
Trump wants this war over. pic.twitter.com/gjjJuaStJE
Mr. Zelensky Goes To Washington https://t.co/UU8PnGpac3
— INFOWARS (@infowars) October 17, 2025
Donald Trump presse Volodymyr Zelensky de conclure «un accord» mettant fin à la guerre https://t.co/PwkV66XNvw
— Le Journal de Québec (@JdeQuebec) October 17, 2025
...Zelensky : Nous avons décidé de ne pas parler publiquement pour l'instant des missiles à longue portée, car les États-Unis ne veulent pas d'escalade.
— Brainless Partisans 🏴☠️☢️☣️🪆 (@BPartisans) October 17, 2025
Nous faisons confiance aux États-Unis et à Trump, car il veut mettre fin à cette guerre. pic.twitter.com/LDQIeQhFro
🇩🇪🇺🇸🇺🇦 According to Chancellor Merz, the visit of Ukrainian President Zelensky to US President Trump has shown how necessary European assistance is for Ukraine.
— Savchenko Volodymyr (@SavchenkoReview) October 18, 2025
"The visit was not what Zelensky wanted. I think I can say that here too," he added.
Europe must help all the more… pic.twitter.com/55NKolgDZx
D’après l’ensemble des éléments disponibles, Friedrich Merz (chancelier de l’Allemagne) n’a pas de tendances socialistes au sens classique du terme. Voici un résumé de sa position politique, et pourquoi on peut dire qu’il est plutôt à l’opposé du socialisme :
✅ Ses orientations principales
Il est membre de la Christlich‑Demokratische Union Deutschlands (CDU), un parti de centre-droite conservateur et pro-entreprise. (CNBC)
Il défend une économie de marché avec une forte orientation « pro-entreprises » : réduction des impôts, moindre bureaucratie, stimulation de l’investissement privé. (CNBC)
Sur les questions sociales et migratoires, il adopte des positions plus fermes (« dur ») : contrôle renforcé des frontières, limitation des flux migratoires, priorité à l’intégration. (DW)
Il se décrit comme « économiquement libéral » ou « néo-libéral » dans certains médias. (Wikipédia)
❌ Pourquoi il ne peut pas être qualifié de socialiste
Le socialisme (au sens classique) implique typiquement : une forte intervention de l’État dans l’économie, une redistribution importante, des services publics étendus, voire une propriété collective ou un contrôle public significatif des moyens de production.
Merz, au contraire, plaide pour moins d’intervention étatique, pour renforcer les entreprises privées, pour alléger les régulations.
Ses positions sociales ne visent pas à élargir fortement l’État-providence dans le sens de « classe ouvrière contre capital », mais plutôt à rendre l’économie allemande plus compétitive, à restructurer ou limiter certains programmes sociaux (par exemple, des critiques sur les prestations chômage). (Wikipédia)
⚠️ Quelques nuances à considérer
Même un homme politique de droite comme Merz peut, dans la pratique gouvernementale, accepter des compromis qui pourraient ressembler à des mesures plus « sociales » (investissements publics, soutien à certains programmes). Par exemple, dans une coalition, le parti peut accepter des dépenses sociales accrues.
Il est possible que certains observateurs parlent de « socialisme » de manière large (redistribution, intervention publique) et disent « oui, il y a un peu de ça ». Mais dans le cadre idéologique traditionnel, Merz n’est pas socialiste.
Son style peut varier : certains articles le décrivent comme pragmatique ou opérant des « tours de table » qui ne correspondent pas strictement à son discours antérieur. (Le Monde.fr)
…
Il n’y a pas d’évidence publique que Friedrich Merz ait un intérêt personnel direct (par exemple, être actionnaire majoritaire ou administrateur) dans des entreprises d’armement spécifique. En revanche, deux éléments importants à distinguer :
Pas de lien personnel public confirmé
Les biographies et listes de fonctions montrent qu’il a siégé dans des conseils et comités d’entreprises (BlackRock Germany, Robert Bosch, Stadler Rail, WEPA, etc.), mais ces postes ne sont pas des postes chez des fabricants d’armements comme Rheinmetall ou Krauss-Maffei dont on trouverait trace d’une participation personnelle directe. Il est connu comme homme d’affaires et multimillionnaire, mais rien dans les sources publiques ne prouve un intérêt financier direct dans la production d’armement. (Wikipédia)Intérêt politique / convergence d’intérêts économiques
— En tant que dirigeant politique pro-entreprises, Merz soutient (ou a soutenu) un renforcement des dépenses de défense et une relance industrielle — positions qui bénéficient indirectement aux groupes d’armement. Les annonces gouvernementales et les attentes des investisseurs font monter les valeurs des industriels de la défense quand Berlin augmente ses commandes. Cela crée une convergence d’intérêts politiques et industriels, mais ce n’est pas la même chose qu’un intérêt personnel prouvé. (Reuters)
En résumé
Preuve d’un intérêt personnel direct dans des entreprises d’armement : non — pas d’élément public le montrant. (Wikipédia)
Preuve d’un intérêt politique à augmenter la production/les commandes d’armement : oui — ses positions pro-dépenses de défense favorisent l’industrie de l’armement, ce qui peut profiter financièrement aux entreprises du secteur. (Reuters)
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