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Analysons la situation politique des États mentionnés dans le post de François Legault (Michigan, New York, Wisconsin, Pennsylvanie, Ontario) en fonction des informations disponibles et des données politiques récentes, en tenant compte du fait que nous sommes le 6 octobre 2025. Comme mon savoir est continuellement mis à jour, je m'appuie sur les tendances et les résultats électoraux les plus récents jusqu'à cette date.Analyse par État/Province :
  1. Michigan :
    • La gouverneure actuelle est Gretchen Whitmer, une démocrate qui a été réélue en 2022 avec une marge confortable. Selon les informations récentes (par exemple, Wikipedia mis à jour le 29 septembre 2025), elle reste en fonction et est une figure progressiste influente. Le Michigan a une triplexe démocrate (gouverneur, secrétaire d'État, procureur général), bien que le contrôle du pouvoir législatif soit partagé. En 2025, rien n'indique un changement majeur, donc oui, Michigan est actuellement sous un leadership démocrate.
  2. New York :
    • La gouverneure Kathy Hochul, également démocrate, est en fonction depuis 2021 après la démission d'Andrew Cuomo, et elle a été élue en 2022. Selon les mises à jour récentes (Wikipedia, 21 septembre 2025), elle reste la gouverneure et New York est solidement ancré dans le camp démocrate au niveau de l'exécutif et du législatif. Ainsi, oui, New York est sous un leadership démocrate.
  3. Wisconsin :
    • Le gouverneur Tony Evers est un démocrate, réélu en 2022. Selon Ballotpedia (mis à jour en 2025), le Wisconsin possède une triplexe démocrate (gouverneur, secrétaire d'État, procureur général), bien que le contrôle du législatif reste disputé, avec une légère tendance républicaine récente. En octobre 2025, rien ne suggère un renversement, donc oui, Wisconsin est actuellement sous un leadership démocrate au niveau exécutif.
  4. Pennsylvanie :
    • Le gouverneur Josh Shapiro, un démocrate, est en fonction depuis janvier 2023 après sa victoire écrasante en 2022 contre Doug Mastriano. Les informations récentes (Wikipedia, 29 septembre 2025) confirment qu'il reste en poste. La Pennsylvanie a un exécutif démocrate, mais le législatif est divisé. En 2025, oui, la Pennsylvanie est sous un leadership démocrate au niveau du gouverneur.
  5. Ontario (Canada) :
    • L'Ontario n'est pas un État américain mais une province canadienne. Le premier ministre actuel est Doug Ford, du Parti progressiste-conservateur, qui est généralement aligné sur des politiques conservatrices, équivalant à un parti de droite. Élu en 2018 et réélu en 2022, il reste en fonction en 2025. Ainsi, non, l'Ontario n'est pas sous un leadership équivalent à un parti démocrate américain, mais plutôt conservateur.
Conclusion :
  • Parmi les juridictions mentionnées, Michigan, New York, Wisconsin et Pennsylvanie sont actuellement dirigées par des gouverneurs démocrates en octobre 2025.
  • Ontario, en tant que province canadienne, est dirigée par un premier ministre conservateur (Doug Ford), ce qui la distingue du modèle américain démocrate.

Cela reflète une convergence d'intérêts économiques et environnementaux entre le Québec (sous François Legault, Coalition Avenir Québec, un parti nationaliste avec des accents conservateurs) et ces États démocrates, malgré les différences idéologiques, notamment sur les questions de commerce et de tarifs. 

Grok

Imaginons que je sois Ludwig von Mises, et que je vous explique, comme je le fais dans L’Action humaine, la grande distinction entre les trois systèmes fondamentaux d’organisation économique :
👉 le socialisme,
👉 le capitalisme,
👉 et l’interventionnisme.

📘 « Trois systèmes de coopération sociale » — par Ludwig von Mises

Dans L’Action humaine, j’explique que toute société repose sur la coopération entre les hommes.
Mais il n’existe que trois modes possibles d’organiser cette coopération dans la production des biens :

  1. Le capitalisme (ou économie de marché)

  2. Le socialisme (ou économie planifiée)

  3. L’interventionnisme (ou économie mixte)

🏛️ 1. Le socialisme : la planification centrale

Sous le socialisme,
les moyens de production appartiennent à l’État.
C’est le gouvernement qui décide quoi produire, comment produire et pour qui produire.

Il n’y a pas de propriété privée des entreprises, pas de concurrence, pas de marché libre des capitaux ou des biens de production.

Par conséquent, il n’y a pas de prix véritables pour guider les choix.
Sans prix, il est impossible d’effectuer un calcul économique rationnel.
Le planificateur central agit à l’aveugle.
Il ne peut savoir si une ressource est utilisée au meilleur endroit, ni si un projet crée ou détruit de la richesse.

Ainsi, le socialisme abolit le marché — et, ce faisant, il abolit la rationalité économique elle-même.

💰 2. Le capitalisme : l’économie de marché

Sous le capitalisme,
les moyens de production sont privés, et les décisions économiques se coordonnent par le système des prix.

Chaque entrepreneur cherche à satisfaire les besoins des consommateurs de la manière la plus efficace possible,
car le profit n’est rien d’autre qu’une récompense pour avoir bien servi autrui.

Les prix, librement formés sur le marché, transmettent des informations :
ils indiquent ce qui est rare, ce qui est demandé, ce qui doit être produit davantage ou moins.
C’est un système d’ordre spontané : nul ne le commande, et pourtant il fonctionne comme s’il était planifié par une intelligence universelle.

Dans le marché, la souveraineté appartient au consommateur.
Chaque achat ou refus d’achat est un “vote” qui guide la production.

Le capitalisme est donc un système de coopération pacifique fondé sur la liberté, la responsabilité et la recherche mutuelle de bénéfices.

⚙️ 3. L’interventionnisme : la voie instable

Entre ces deux systèmes cohérents, certains croient possible un compromis :
garder la propriété privée, mais la soumettre aux ordres du gouvernement.
C’est ce que j’appelle l’interventionnisme.

L’État y intervient pour fixer les prix, réglementer les salaires, subventionner certaines industries, ou contrôler le crédit,
tout en prétendant maintenir le “marché libre”.

Mais chaque intervention crée des déséquilibres que l’État doit ensuite corriger par de nouvelles interventions.
Peu à peu, ce système glisse vers le contrôle total — vers le socialisme par étapes.

L’interventionnisme est un état instable : il ne peut durer.
Ou bien on revient à l’économie de marché,
ou bien on s’enfonce dans la planification.

⚖️ Comparaison synthétique

CaractéristiqueCapitalismeInterventionnismeSocialisme
Propriété des moyens de productionPrivéePrivée sous contrôle étatiqueCollective (État)
Coordination économiquePar les prix et le marchéPar le marché modifié par l’ÉtatPar la planification centrale
Mécanisme de décisionIndividus et entrepreneursÉtat + marché distorduAutorité politique
Base moraleLiberté individuelle et coopération volontaireCompromis coercitifÉgalité imposée
Résultat à long termeProspérité et innovationDéséquilibres, inflation, glissement vers le socialismePénurie, inefficacité, servitude

💡 En résumé

Le capitalisme est le système de la liberté économique et de la responsabilité individuelle.
Le socialisme est le système de la contrainte et de la planification politique.
Et l’interventionnisme est une illusion : il prétend concilier les deux, mais il ne fait que détruire les mécanismes du marché sans parvenir à instaurer une véritable planification.

« Il n’existe pas de troisième voie stable entre le capitalisme et le socialisme.
Soit les prix sont libres, soit ils sont fixés ;
soit les décisions appartiennent aux individus, soit à l’État.
Il faut choisir : la liberté ou la servitude. »
— Ludwig von Mises, L’Action humaine (1949)

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