Ça reste une sacrée belle histoire et on ne peut que saluer la passion de cet ado! https://t.co/sDB8RcFGCV— Marie Julie Gagnon (@technomade) 11 mai 2016
L'actrice Catherine Schell, dans le rôle de Maya de la télésérie Cosmos:1999 #histoire #télévision pic.twitter.com/oHCiQSOgAO— Photos Histoires (@PhotosHistos) 9 mai 2016
I could watch this all day pic.twitter.com/KQaXNVrssL— Science Porn (@EducationalPics) 24 avril 2016
Isaac AsimovComment une cité maya a été découverte... puis perdue https://t.co/FoDqYMwknx (via @slatefr @micheljean5 @Lucille_Bisson)— Marie Julie Gagnon (@technomade) 15 mai 2016
La thiotimoline est une substance chimique imaginaire, inventée par Isaac Asimov dans sa nouvelle Les propriétés endochroniques de la thiotimoline resublimée (The endochronic properties of resublimated thiotimoline - 1948), traduite dans le recueil La Mère des mondes.
Cette nouvelle pastiche une thèse de biochimie décrivant cette substance qui aurait la particularité non seulement d'être soluble dans l'eau, mais avec un temps de dissolution négatif. C'est une des formes les plus originales d'appréhender les voyages spatio-temporels.
Dans son autobiographie Moi, Asimov, l'écrivain relate que lors des examens pour l'obtention du Doctorat, le jury, ayant pris connaissance de sa première nouvelle impliquant la thiotimoline, décida de lui demander, en guise d'examen, de discuter des propriétés de la thiotimoline. Une décision qui glaça d'horreur le jeune Asimov persuadé que la communauté scientifique en avait pris ombrage et ne diplômerait jamais un excentrique pareil. Il indique par la suite qu'au contraire, cet échange était en fait une sorte de remerciement du jury à Asimov pour avoir porté d'une manière attrayante la science expérimentale aux yeux du grand public et peut-être suscité des vocations.
source -> https://fr.wikipedia.org/wiki/Thiotimoline
Affaire Sokal
L'affaire Sokal a pour origine la publication d'un article qui s'avéra ensuite être un canular par le physicien Alan Sokal dans la revue Social Text. L'expression fait référence à toutes les controverses qui en résultèrent.
Social Text est une revue d'études culturelles postmoderne, chef de file dans son domaine, publiée par l'Université Duke. En 1996, Alan Sokal, professeur de physique à l'Université de New York, soumet un texte pseudo-scientifique à la revue dans le cadre d'une expérience visant selon lui à « publier un article généreusement assaisonné de non-sens qui (a) sonne bien et (b) flatte les préconceptions idéologiques des éditeurs »trad 1 et à voir si les éditeurs accepteraient l'article proposé.
L'article, intitulé « Transgresser les frontières : vers une herméneutique transformative de la gravitation quantique »trad 2, est publié au milieu de 1996 dans le numéro intitulé « Science Wars » de Social Text sans avoir subi préalablement un processus d'examen par les pairs de l'auteur ni avoir été soumis à une quelconque critique externe. Le jour de sa publication, Sokal annonce dans le magazine Lingua Franca que l'article est un canular1. Estimant que l'absurdité de son article était évidente, Sokal en conclut que la revue méconnaît les règles de la rigueur intellectuelle puisqu'elle « s'est permis de publier un article sur la physique quantique sans prendre la précaution de consulter un spécialiste du domaine. »1
L'affaire Sokal a pour origine la publication d'un article qui s'avéra ensuite être un canular par le physicien Alan Sokal dans la revue Social Text. L'expression fait référence à toutes les controverses qui en résultèrent.
Social Text est une revue d'études culturelles postmoderne, chef de file dans son domaine, publiée par l'Université Duke. En 1996, Alan Sokal, professeur de physique à l'Université de New York, soumet un texte pseudo-scientifique à la revue dans le cadre d'une expérience visant selon lui à « publier un article généreusement assaisonné de non-sens qui (a) sonne bien et (b) flatte les préconceptions idéologiques des éditeurs »trad 1 et à voir si les éditeurs accepteraient l'article proposé.
L'article, intitulé « Transgresser les frontières : vers une herméneutique transformative de la gravitation quantique »trad 2, est publié au milieu de 1996 dans le numéro intitulé « Science Wars » de Social Text sans avoir subi préalablement un processus d'examen par les pairs de l'auteur ni avoir été soumis à une quelconque critique externe. Le jour de sa publication, Sokal annonce dans le magazine Lingua Franca que l'article est un canular1. Estimant que l'absurdité de son article était évidente, Sokal en conclut que la revue méconnaît les règles de la rigueur intellectuelle puisqu'elle « s'est permis de publier un article sur la physique quantique sans prendre la précaution de consulter un spécialiste du domaine. »1
source -> https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Sokal
Blogue : la reine des arnaqueuses sera poursuivie #BelleGibson https://t.co/PTsoxpyW0b #Cancer #arnarque pic.twitter.com/viB4yMbf8t— SciencePresse (@SciencePresse) 15 mai 2016
Nouveau «Madoff» chinois: une fraude de plus d'un milliard US https://t.co/eT9e140tvv pic.twitter.com/Rl5HLlgZKy— La Presse Affaires (@LP_Affaires) 16 mai 2016
Deux ans de prison pour avoir berné les gens de son entourage (@KFrenetteJDQ) #JDQ https://t.co/TabrLkVXbF pic.twitter.com/yHpOxh0SDm— Le Journal de Québec (@JdeQuebec) 5 juillet 2016
Il ira loin! Expo-sciences: William Gadoury rafle une médaille d’or pour sa cité maya cachée | JDQ https://t.co/noKfPo2UEb— Pierre Morin (@PierreMorinQc) 20 mai 2016