25 ans après la crise d'Oka,
la réconciliation


« J'ai subi une perte énorme. Il n'y a rien qui peut la remplacer. Mais d'un autre côté, si on ne se concentre pas juste sur notre perte, on peut voir qu'il y eu des pertes [du côté de Kanesatake]. Il faut bâtir un avenir ensemble, c'est ce que je me dis », résume Francine Lemay, dont le frère Marcel Lemay est mort lors d'une fusillade durant la crise d'Oka.