Ambrose: la défaite de Clinton n’est pas misogyne



EDMONTON — La chef intérimaire du Parti conservateur du Canada ne croit pas que la défaite d’Hillary Clinton s’explique par un rejet des femmes en politique.

Rona Ambrose estime plutôt que les démocrates américains ont perdu contact avec les travailleurs — une leçon qui devrait inspirer Justin Trudeau, selon elle. La chef conservatrice croit que les politiciens de centre-gauche proposent de grandes politiques qui sont à des lieues des intérêts réels des travailleurs, comme on l’a vu aux États-Unis cette semaine, et plus tôt cette année au Royaume-Uni avec le Brexit.

Selon Mme Ambrose, le premier ministre Trudeau devrait tirer des leçons de ces résultats, alors qu’il est plus intéressé, estime-t-elle, à impressionner les bureaucrates des Nations unies avec de grandes politiques qui sont néfastes pour les travailleurs.

Mme Ambrose a eu ces commentaires alors que les deux seules femmes dans la course à la direction du Parti conservateur de l’Alberta viennent de se désister.

L’une d’elles, la députée provinciale Sandra Jansen, a indiqué qu’elle avait été victime d’intimidation incessante en ligne, mais aussi par certains bénévoles d’un adversaire lors du congrès du week-end dernier. Mme Jansen avait alors apporté son soutien aux droits de procréation des femmes.

Rona Ambrose soutient qu’il s’agit là des risques du métier pour les femmes en politique, et qu’il faut tenir tête et dénoncer.

Des femmes de tous horizons politiques préoccupées par l’intimidation dont aurait été victime Mme Jansen devaient manifester jeudi après-midi à Calgary. Nirmala Naidoo, qui a été candidate libérale aux dernières élections fédérales, estime que l’intimidation des femmes en politique ne peut être tolérée, surtout si on veut que plus de femmes se présentent.

source -> http://journalmetro.com/


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une organisation financée par George Soros appelle à manifester contre Donald Trump
-WikiLeaks



Dans la correspondance de John Podesta dévoilée par WikiLeaks, un échange entre le milliardaire George Soros et le conseiller de Hillary Clinton évoque le financement de l’organisation MoveOn.org, qui pousse aux manifestations anti-Trump.

source -> https://francais.rt.com/

"Social justice warrior" (commonly abbreviated SJW) is a pejorative term for an individual promoting socially progressive views,[1] including feminism,[1][2]civil rights,[1] multiculturalism,[1] and identity politics.[3] The accusation of being an SJW carries implications of pursuing personal validation rather than any deep-seated conviction,[4] and being engaged in disingenuous social justice arguments or activism to raise personal reputation.[5]
The phrase originated in the late 20th century as a neutral or positive term for people engaged in social justice activism.[1] In 2011 when the term first appeared on Twitter it changed from a primarily positive term to an overwhelmingly negative one.[1] During the Gamergate controversy, the negative connotation gained increased use, and was particularly aimed at those espousing views adhering to social liberalism, cultural inclusiveness, or feminism, as well as views deemed to be politically correct.[1][2]

social justice warrior

NOUN informal, derogatory

A person who expresses or promotes socially progressive views:
‘these social justice warriors want to apply their politically correct standards and rules to others' speech’
https://en.oxforddictionaries.com/
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George Soros
source -> https://fr.wikipedia.org/


Remarks delivered at the Cato Institute (Excerpt)

Left, Right, and Soros


Capital Rivals: Koch Brothers vs. George Soros
source -> https://www.opensecrets.org/



source -> http://hayekcenter.org/
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Photo : http://www.attn.com/